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Star Wars: Captain Phasma

  • Année de publication: 2018
  • Éditeur : Marvel (Panini Comics pour la VF)
  • Episodes : 4 issues (un tome pour la VF)
  • Nombre de pages : autour de 20 pages par issue (96 pour la VF)
  • Scénaristes: Kelly Thompson
  • Dessinateur: Marco Checchetto
  • Coloriste: Andres Mossa

De quoi ça parle?

Dans une galaxie lointaine, très lointaine, un personnage avec deux lignes de dialogue jusqu’ici va traquer celui qui pourrait l’empêcher d’apparaître dans l’épisode suivant et d’avoir un rôle plus conséquent (qui ne le sera finalement pas).

Cool girls don’t look at explosions

Et alors, t’as aimé?

Ca casse pas 9 pattes à un néoptère

Vu mon résumé, vous devez certainement vous demander pourquoi j’ai perdu mon temps à lire cette BD sur ce personnage de la nouvelle trilogie à l’armure rutilante . Et bien, ce n’est effectivement pas pour le Captain Phasma que j’ai ouvert cette BD mais pour ses auteurs. J’aime bien le travail de Kelly Thompson et les dessins de Checchetto mettent souvent de jolies claques. Et puis bon, après la lecture de Star Fixion, je voulais me prendre un petit shoot de Star Wars.

Cette histoire se situe entre les épisodes VII et VIII et raconte une chasse à l’homme. Le premier épisode nous montre comment Phasma a échappé à la destruction de la base Starkiller. Le déccoupage est vraiment réussi, donnant un épisode rythmé, bourré d’explosions mais qui pose les jalons pour la suite et permet de donner au lecteur tous les éléments. C’est une constante chez Thompson, cette capacité à développer son histoire sans ralentir l’action. Pour le reste des 3 épisodes, on est dans du classique mais efficace : nouvelle planètes, monstres et autochtones. Ca reste assez anecdotique et on en apprend assez peu sur Phasma. Après, c’est vraiment très agréable à regarder grâce aux dessins de Checchetto qui s’en donne à coeur joie et offre des cadrages bien péchus.

Captain Phasma est une lecture réservée aux fans harcores du personnage (y en a-t-il?) ou à ceux qui veulent s’offrir une petite escapade dans l’univers étendu de Star Wars. Pour ma part, je le range dans la catégorie vite lu, vite oublié, même si les auteurs ont fait un boulot propre et sérieux malgré toutes les limitations qu’ils ont du se faire imposer par Disney.

Un gros monstre baveux comme on les aime

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